Agenda Novembre 2016
Mardi 29 novembre 2016
Les chercheurs et l’action. Situations, collaborations et finalités. Journée d’étude organisée par l’université de Paris 8, l’université de Paris 13, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Saint-Denis-la-Plaine, Maison des sciences de l’homme de Paris Nord, le mardi 29 novembre 2016.
Recherches collaboratives, participatives, contributives, impliquées… des expériences se multiplient, donnant une nouvelle jeunesse aux recherches-actions. Ces démarches, qui sont en voie de reconnaissance au regard des critères académiques, répondent à un double besoin : celui des chercheurs et celui des acteurs.
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d’un côté, les disciplines constituées éprouvent leurs limites face aux situations contemporaines, leurs enjeux démocratiques, et face à l’émergence de nouveaux objets de recherche. Elles cherchent à les dépasser par l’interdisciplinarité et la mobilisation de partenaires non académiques.
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de l’autre côté, les acteurs sociaux, économiques, politiques, institutionnels sont en demande d’un éclairage savant qui intègre et prenne en compte leur propres problématiques et objectifs.
Les limites contemporaines de l’institution sont également en jeu :
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limites avouées dans la capacité à penser des situations,
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limites dans la capacité à décider et à faire ;
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limite dans la capacité de représentation politique.
Programme
Ouverture, par Alain BERTHO
1. Pourquoi de nouveaux paradigmes de recherche ?
Quel contexte politique, social, technologique ? Quels impensés du monde actuel ?
– Bernard STIEGLER, IRI, université de Compiègne, Disrupion et recherche contributive
– Sylvain LAZARUS, université Paris 8, Aujourd’hui, que faire dans le travail d’enquête de l’hypothèse d’une capacité politique des gens ?
– Marion CARREL, université Lille 3, Vers une épistémologie post-pauvreté ? Les enjeux du croisement des savoirs entre personnes en situation de pauvreté, praticiens et praticiennes, chercheurs et chercheuses chez ATD Quart Monde
2. Les chercheurs interpellés : par qui et pour quoi ?
Qui est prescripteur ? (La puissance publique ? Une entreprise ? Un collectif militant ? Les intéressés eux-mêmes ?) Quels sont les besoins ? Quels vides remplissent-ils ?
– Hugues BAZIN, LISRA, Quand la commande vient d’ « en-bas » : le principe de laboratoire social au prisme d’une recherche-action avec les récupérateurs vendeurs
– Patrick BRAOUEZEC , Président de Plaine Commune, Territoire et recherche-action : une coopération à consolider.
– Marc LIPINSKI, CNRS,10 ans de partenariats institutions – citoyens pour la recherche et l’innovation (Picri) et après ?
3. Quels formats de recherche ? Pour quelles finalités ?
Quelles collaborations ? Pour quels savoirs ? Produit-on du commun ou des usages disjoints ? Quelle finalité critique ou politique de la démarche ? Quels effets sur les disciplines et sur l’action collective ?
– Francine SAILLANT, université Laval, La recherche dans les milieux communautaires au Québec : jeux de normes et d’éthique
– Hugues BAZIN / Mélanie DUCLOS / Véronique POUPARD, Plaine Commune, Expérimenter les rues marchandes comme démarche de recherche-action avec les biffins sur Plaine Commune ?
– Pascal NICOLAS LE STRAT, université Paris 8, Faire commun en recherche
– Jean Michel FOURNIAU, Iffstar, Excellence scientifique et pertinence sociale : deux critères indépendants dans l’évaluation des sciences participatives
– Mathieu VALDENAIRE, FEJ, Quelles recherches-expérimentations soutenues par le Fonds d’Expérimentation pour la Jeunesse ? Quelle capitalisation ?
– Agnès DEBOULET, Université Paris 8, Co-produire du savoir et de l’action : enjeux internationaux des formats coopératifs en milieu urbain (après Habitat III)
Jeudi 24 novembre 2016
Patrimoine et débats publics : un enjeu citoyen, colloque organisé par le Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS), Charenton-le-Pont.
L’obligation de concertation et de débats avant toute décision publique représente une nouvelle forme d’implication citoyenne. Sa portée concerne la protection et la gestion des patrimoines qui forment notre héritage culturel et notre bien commun.
Alors que l’on constate un éloignement grandissant entre les discours politiques et les expressions citoyennes, les décideurs publics, experts, chercheurs, associations et citoyens, formulent autour de plusieurs questionnements :
• la protection du patrimoine est-elle un processus démocratique qui reconnaît l’intérêt général ?
• l’obligation de concertation renforce-t-elle la légitimité de la protection ?
• la participation citoyenne améliore-t-elle la décision publique en matière de patrimoine ?
• quelles réponses sont apportées à l’obligation de concertation ?
• quelles pratiques et quelles méthodes garantissent le dialogue entre les acteurs du patrimoine ?
• comment atténuer la distance entre les savoirs des experts et la parole des usagers et des associations militantes ?
• quels dispositifs de concertation sont mis en oeuvre en réponse à la diversité d’objets patrimoniaux (biens inscrits sur la liste • du patrimoine mondial, centres historiques, sites naturels, paysages…)
• quelles expériences, en France comme à l’étranger, particulières à des mémoires, à des histoires, et à des identités culturelles particulières, témoignent des avancées ?
Jeudi 24 octobre 2016 Vendredi 25 octobre 2016
3e Rencontres annuelles d’Ethnographie (RAE) organisées par l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Fondation Maison des sciences de l’Homme, 190 avenue de France, Paris.
De nombreux travaux appartenant aux disciplines des sciences sociales recourent à l’enquête ethnographique. Ces rencontres sont conçues pour donner une visibilité à ces recherches et pour stimuler la réflexion autour de la méthode ethnographique. Les 3e rencontres, animées par Ann Mische (professeure de sociologie à l’Université Notre Dame, Etats Unis), et Véronique Bénéï (directrice de recherches CNRS, LAIOS-IIAC), comprennent treize ateliers.
1. Des choses et des hommes, ethnographie des attachements
2. Ethnographier les recompositions contemporaines des groupes sociaux dans l’ancien bloc socialiste
3. Observer et analyser les postures
4. Des deux côtés du guichet: une ethnographie politique de la rencontre administrative
5. Comment ethnographier le travail indépendant? (R)accommoder les spécificités de l’objet et des methodes
6. Terrains de parenté: liens, espaces, mobilités
7. Carte blanche aux ethnographes. De l’usage de la cartographie en ethnographie urbaine
8. Fragiles infrastructures de la santé. Repenser le « global » dans les ethnographies de la santé. Health Ethnographies
9. Anthropologie visuelle. Pratiques, interactions, et circulations visuelles dans le processus d’enquête ethnographique
10. Dessine-moi une ambiance!
11. La vie politique des marchandises. Une réflexion sur la circulation contemporaine des «choses» et ses transformations sociales et politiques
12. La vie politique des marchandises : Une réflexion sur la circulation contemporaine des «choses» et ses transformations sociales et politiques
13. Ethnographier des terrains « sensibles ». Des outils et des enjeux spécifiques?
Mercredi 23 novembre 2016
Nouveaux flux, nouvelles relations entre les lieux : les espaces périphériques de la mondialisation. Organisé par l’IRD Bondy et l’Institut de géographie, avec le CNRS UMR 8586 (ParisI, Paris IV, Paris VII, EPHE, IRD), l’Agence nationale de la recherche (ANR), Paris,
La mondialisation contemporaine modifie les relations entre les espaces, les institutions, les entreprises et les individus. Elle entraîne une transformation radicale des liens entre les périphéries avec les lieux. Les flux de toute nature que ces relations nouvelles déclenchent, les stratégies des acteurs au centre de ces dynamiques, les territoires institutionnels, politiques ou identitaires, construisent ou renforcent ces reconfigurations. Les dissymétries sociales et économiques qu’elles génèrent ont été étudiés par le programme collectif de recherche Périmarge : « Périphéries, marges : interpréter les relations aux centres dans la mondialisation ».
• Jeudi 17 novembre 2016
En route vers le campus Condorcet, Cité des humanités et des sciences sociales. Exposition, Table ronde, Campus Condorcet, 20 avenue George Sand, 93210 Saint-Denis la Plaine.
La Cité des Humanités et des Sciences Sociales est un campus universitaire situé au nord de Paris, à cheval entre le territoire de la Porte de la Chapelle, à Paris et de la commune d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Son ouverture est prévue pour 2019. Elle sera alors le plus grands campus européen dans le domaine de la recherche en sciences humaines et sociales.
Dix établissements d’enseignement supérieur et organismes spécialisés dans les sciences humaines et sociales participent à son projet :
le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), l’École nationale des chartes (ENC), l’École pratique des hautes études (EPHE), la Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH), l’Institut national d’études démographiques (INED), l’ Université de Paris-I « Panthéon-Sorbonne », l’Université de Paris-III « Sorbonne nouvelle », l’université de Paris-VIII « Vincennes à Saint-Denis », l’Université de Paris-XIII « Paris-Nord ».
Samedi 12 novembre 2016 et dimanche 13 novembre 2016
Accélérer, jusqu’où ? L’homme au cœur du mouvement, Congrès national du Mouvement chrétien des cadres et des dirigeants (MCC), 12 et 13 novembre 2016. http://congres.mcc.asso.fr/770_p_45335/theme.html
La révolution technoscientifique nous impose de vivre une transition fulgurante, nous faisant passer d’un ancien monde vers un monde nouveau : les temps propres des individus sont de plus en plus désynchronisés du temps naturel.
Nos societéss sont sous tension. Comment les hommes et les femmes d’aujourd’hui, acteurs de cette accélération, vont pouvoir gérer demain ce nouveau rapport au temps ?
La rapidación.. L’encyclique « Laudato si’ », sous le vocable de « rapidación », fait référence à ce phénomène. L’accélération continuelle des changements de l’humanité et de la planète, associée à une intensification des rythmes de vie et de travail, contraste avec la lenteur naturelle de l’évolution biologique.
Les objectifs de ce changement rapide ne sont pas orientés vers le développement humain dans un esprit de justice. Dès lors, le changement, qui est quelque chose de désirable, devient préoccupant quand il en vient à détériorer le monde et la qualité de vie d’une grande partie de l’humanité.
Nous répondons en mettant l’homme au cœur du mouvement, avec une double invitation :
• Adapter le rythme et la nature des changements à l’homme, et non l’inverse ;
• Étre présents, avec audace et espérance, au cœur de ces changements pour se donner les moyens de répondre à l’invitation précédente.
Nous proposons pour aborder le phénomène de l’accélération sous quatre dimensions :
• les temps de la vie
• habiter son temps
• travailler au rythme du numérique
• accélérer ensemble
jeudi 10 novembre 2016
Quelle actualité pour la concertation et la participation ? Présentation du nouveau manifeste de l’Institut de la concertation, 2e Journée de l’Institut de la concertation (IDC), L’Entrepôt, 7 rue Francis de Pressensé, Paris 14e.
L’Institut de la concertation réunit ses membres afin de faire le point sur ses activités en cours sur son programme 2017-2018.
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Quelle actualité pour la concertation et la participation ? Climat pré-électoral et campagnes pour les primaires avant les élections de mai 2017, évolutions réglementaires récentes en matière de dialogue environnemental, enthousiasme grandissant pour les civictech et leurs incidences sur la vie démocratique, retours concrets deux ans après la mise en place obligatoire des conseils citoyens dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville…
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Quels impacts sur la participation des citoyens ? Débat en présence d’intervenants français et européens qui analyseront la situation de la France à l’aune de ce qui se passe ailleurs.
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Regards d’ailleurs. Table ronde avec Loïc Blondiaux, professeur au Département de Sciences Politiques de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne ; Giovanni Allegretti, chercheur au Center for Social Studies de l’Université de Coimbra (Portugal), membre de l’Autorité régionale de garantie et promotion de la participation et du débat public de Toscane (Italie) ; Jan de Kezel, fondateur de l’agence Createlli (Belgique)
Mercredi 9 novembre
Le design au service des publics.
Comment rendre accessibles à l’usager des systèmes institutionnels complexes par de nouvelles approches du design ? Journée d’étude organisée par Communication publique, Université Pierre et Marie Curie, Paris.
Communicants et designers sont en permanence confrontés à des questions d’identifications, de représentations. Ils s’interrogent pour rendre compréhensibles, accessibles, appropriables les services qu’ils entendent promouvoir. Cette rencontre permettra de croiser recherche universitaire et appliquée (à partir du travail mené à l’université de Strasbourg) et expériences de terrain conduites par des acteurs institutionnels. Elle intéresse décideurs de la communication publique, universitaires et designers.
Grand témoin : Ruedi Baur, designer. Qu’entend-on par design civique ? Et pour quels enjeux de communication publique ? Pourquoi un changement de paradigme sur la représentation des systèmes complexes ?
I. Traiter la complexité des institutions par le design civique
Annabelle OUVRARD-MILON, directrice de la communication, université de Bordeaux
Franck TALLON, designer
Julien DEFAIT, designer, 27ème Région
II. Offrir un service public accessible à tous : l’apport du design
Laure DE LA BRETECHE, secrétaire générale, SGMAP
Odile CHAMUSSY, directrice de la communication,, Société du Grand Paris
Anthony MASURE, enseignant chercheur
III. Innover et transformer : le design au service des décideurs
Pierre LITZLER, directeur de la faculté des Arts, Université de Strasbourg
Ambroisine BOURBON, directrice de la practice Communication, Digital et Médias, Sciences Po executive
Renaud GAULTIER, président, La Sense-making Metaphoric Artefact Firm
Mercredi 9 novembre 2016
Hommes et technologies. Les mutations de la sécurité intérieure. 3e rencontres des organisées par Acteurs publics et l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ), École militaire, Paris. http://www.acteurspublics.com/rencontres/programme/forum
Le magazine Acteurs publics organise avec l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ), à Paris, à l’École militaire, le 9 novembre 2016, les 3e Rencontres des acteurs publics sur le thème « Hommes et technologies ». Son objet est triple :
– de débattre de l’impact des technologies sur les métiers de la sécurité
– de se poser la question de la répartition des rôles entre policiers, gendarmes, militaires et citoyens réservistes.
– de s’interroger jusqu’où peut être porté l’engagement citoyen dans ce domaine
Sous l’impulsion de l’utilisation des nouvelles technologies, l’univers des acteurs publics et privés de la sécurité intérieure connaît de profondes mutations. Jusqu’où les Français sont-ils prêts à aller dans l’engagement citoyen ? Quel pacte entre l’État et les acteurs privés de la sécurité ?
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Ouverture. Hélène CAZAUX- CHARLES, directrice de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ)
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La sécurité intérieure à l’heure de la menace terroriste, tous concernés, tous acteurs ?
par Alain BAUER, professeur titulaire de la Chaire de Criminologie du Conservatoire National des Arts et Métiers, président du Conseil National des Activités Privées de Sécurité (CNAPS)
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L’Observatoire des politiques publiques. Jusqu’où les Français sont-ils prêts à aller dans l’engagement citoyen ? Garde nationale, réserve citoyenne…
Jusqu’où peut aller l’engagement citoyen ? L’Ifop a questionné les Français pour l’Observatoire des politiques publiques
avec Frédéric DABI, directeur général adjoint de l’Ifop ; Nathalie VAN VLIET, associée responsable «Secteur public» chez EY
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Sécurité intérieure : vers un nouveau pacte entre l’Etat et les citoyens
Frappée par le terrorisme, la France prend conscience que la sécurité est devenue l’affaire de tous. La constitution d’une Garde nationale est-elle la bonne réponse ? Les Français seront-ils plus unis dans cette société de la vigilance ?
avec Michel FIZE, sociologue et chercheur au CNRS ; Pascal LALLE, directeur central de la sécurité publique ; Pascal BEAUBAT, président d’Intériale.
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Justice et citoyens à l’heure de la menace terroriste
par Jean-Louis BRUGUIÈRE, ancien juge antiterroriste, haut représentant de l’Union européenne auprès des États-Unis pour la lutte contre le financement du terrorisme
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Sécurité intérieure : vers un nouveau pacte entre l’Etat et les entreprises
Parce que la sécurité est l’affaire de tous, acteurs publics comme privés, une redistribution des rôles s’amorce. Quel rôle pour les entreprises dans la future Garde nationale ? Comment la filière industrielle française de sécurité peut-elle mieux travailler avec l’Etat ? Comment renforcer la coopération entre les forces de sécurité publiques et les agents de sécurité privée ? avec Philip ALLONCLE, délégué aux coopérations de sécurité au ministère de l’Intérieur ; Thierry DELVILLE, délégué aux industries de sécurité, ministère de l’Intérieur ; Jean-Louis FIAMENGHI, directeur de la sûreté de Veolia, ancien préfet, ancien chef du RAID, ancien chef du service de protection des hautes personnalités ; Régis POINCELET, directeur de la sûreté d’Engie ; Jacques ROUJANSKY, délégué général du Conseil des Industriels de la confiance et de la sécurité
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De l’importance du facteur humain dans la gestion de crise.
par Carole DAUTUN, responsable du département Risques et Crises de l’INHESJ.
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Enquête nationale Hommes et technologies
Sous l’impulsion de l’utilisation des nouvelles technologies, les métiers de la sécurité sont en profonde mutation.
• Ce phénomène est-il un facteur d’efficacité opérationnelle ?
• Les acteurs du secteur sont-ils préparés à leur usage ?
• Quel est l’impact sur les pratiques professionnelles des acteurs de la sécurité intérieure ?
Pour répondre à ces questions, la rédaction d’Acteurs publics, en partenariat avec les experts de l’INHESJ et de la mutuelle Intériale, a questionné 1200 acteurs du secteur au cours du mois d’octobre 2016.
avec Philippe DEVINS, directeur secteur publics de HP Entreprises ; Pascal SAUBION, directeur commercial secteur public en charge de la sécurité
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Les technologies au service de la sécurité intérieure
Big data, vidéosurveillance, deep learning, smart cities… alors que les industriels sont en pointe, les forces de sécurité et de renseignement sont-elles prêtes à franchir le pas ? Quelles limites, quels espoirs ? Et si « Big Brother » nous protégeait ?
Christian AGHROUM, fondateur de Socoa, société de conseil en sûreté, cybersécurité, gestion de crise, vice-président de CyAN, ex-directeur de la sûreté du groupe Sicpa et ancien chef de l’office français de lutte contre la cybercriminalité (OCLCTIC), ancien commissaire divisionnaire ; Robert HERRMANN, Président de l’Eurométropole de Strasbourg et adjoint au Maire en charge de la sécurité et de la tranquillité publique ; Guillaume POUPARD, directeur général de l’ANSSI ; Michel VILBOIS, chef du service de l’achat, des équipements et de la logistique de la sécurité intérieure (SAELSI) au ministère de l’Intérieur.
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Sécurité et transports : protéger sans paralyser
par Alain VIDALIES, secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche
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Transports, grands événements : comment assurer leur sécurité ?
Les transports publics sont-ils vulnérables ? Faut-il développer les polices des transports ? Existe-t-il des technologies pour protéger les participants à de grands événements ?
par Pascal KIEKENS, président de Mondial Protection ; Gilles SAVARY, député de Gironde, auteur du rapport sur la prévention et la lutte contre les incivilités, contre les atteintes à la sécurité publique et contre les actes terroristes dans les transports collectifs de voyageurs ; Alain ZABULON, directeur de la sûreté Aéroports de Paris, préfet, ancien coordonnateur national du renseignement.
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Renforcer la coopération européenne dans la lutte antiterroriste
par Julian KING, commissaire européen à la sécurité
Mardi 8 novembre 2016
Débat public, concertation, conciliation, médiation : quelles synergies ?, Conférence-débat organisée par la Commission nationale du débat public (CNDP), l’institut de la concertation (IDC), le Conservatoire national des Arts et métiers (CNAM), Médiations plurielles, GIS Démocratie et participation, Décider ensemble, Paris, Conservatoire national des Arts et métiers.
Alors que les processus de débat public et de concertation se sont largement étendus depuis les années 1995/2000, la conflictualité reste élevée dans le domaine de l’environnement. Elle a conduit à imaginer de nouvelles pistes de solutions pour renforcer le dialogue environnemental.
Une des questions posées concerne les liens qui existent entre les différents processus de participation et de concertation, en amont de la décision, et du rôle que peuvent y jouer les approches de médiation et de conciliation, peu répandues encore dans notre pays.
Les articulations possibles entre ces différentes pratiques et approches doivent être explorées. A quelles situations répondent-elles ? Comment assurer une meilleure synergie entre elles tout en maintenant leurs spécificités ? Quels sont les liens entre les postures et les rôles de garant, de conciliateur, de médiateur et d’animateur de concertation ?