En ce 18 septembre 2011, troisième anniversaire du décès de Jean Marsaudon, j’ai une pensée amicale pour le compagnon politique et l’ami qu’il a été. Les évènements récents qui ont entachés l’image de notre commune n’auraient pas eu lieu sous ses mandatures. Une relève doit assurer, demain, de nouvelles victoires sur toute gouvernance autocratique et sur la politique spectacle mise en place depuis son départ. Il faut repartir, comme en 1981/1983, avec l’espoir de vaincre les maladies politiques qui sont à l’oeuvre et qui affectent notre ville et sa vie démocratique, en unissant toutes les forces républicaines conscientes des périls.
Bernard MÉRIGOT